jeudi 12 février 2009

18 au 22 janvier 2009


18 au 22 janvier 2009

Georges Town, à l’ancre et marina

Galliot Cut – Georges Town
Distance parcourue dans la journée : 42,0 milles nautiques
Distance parcourue à ce jour : 1997 milles nautiques

Le vent annoncée et vécue
Nous avons fait route avec un vent sur le nez Sud Est de 10 kts.
Dépressions et fronts froids se succèdent, des vents forts et du mauvais temps sont annoncés, pas de pluie, mais un peu frais la nuit les derniers jours.

La vie
Déplacement
Arrivé le 18, nous avons fait route au moteur le vent du Sud Est sur le nez, virant tout doucement au Sud ne nous a pas permis de faire de la voile, et nus voulions être à Georges Town pour le 20, or donc du moteur.

À l’ancre et à la marina
Eh oui de l’ancre le 18 et 21, et à la marina le 19 et 20. La raison est que Claude et Julie devait retourner au Québec, quitter la chaleur uqe l’on qualifie de frais parfois pour un retour au pays. Ce départ se faisant par avion, avec un taxi pour 6 heure du matin, avec les préparatif que ça imposait, la marina était la bienvenue.
A l’ancre pour les 2 nuits, ça s’est bien présenter, le 18 peu de vent, le 21 venteux, 25 kts, par contre le fond a une bonne tenue.

La plongée
Pas de plongée à Georges Town, avec Claude nous pensions en arrivant d’aller faire un petit tour, mais nous avons préféré entrer au port pour voir comment ça se présentait, environnement, ancrage, plusieurs mats, pas de plongée pour notre arrivée.

Pour les derniers jours, on m’a informer que nous n’avions pas le droit de pêcher à l’intérieur des protections et de la passe, la pêche possible était seulement à l’extérieur, au large, et que de toutes façons il y avait tellement de monde, et pu grand-chose, que ça m’a enlever toute envie d’une sortie.

Le départ
Nos amis sont partis hier et déjà ils nous manquent. Nous avons souvent eu cette remarque que, à deux sur un bateau c’était déjà difficile, imaginer à quatre, bonne chance. Vous dire qu’il n y a pas eu des moments intenses et des frictions, je serais menteur, mais d’avoir passé un mois et demi ensemble et qu’une journée après leur départ, nos amis nous manqueraient, je dirais que jusqu’à présent pour la vie AKAT, ça nous réussis. Pour ceux qui ont de la difficulté à deux, ils devraient se poser des questions. Pour l’avenir, à suivre.

La vie
Bien sur il y a eu les préparatif du départ de Claude et Julie, nos préparatifs à nous pour continuer notre route, c’est a peu près la seule manière que nous avons profité de ce petit village. Un tour pour les souvenirs, un tour ou quatre à l’épicerie pour trouver ce qui nous manquait, et un tour à la quincaillerie pour acheter diverses bricoles, pour continuer nos petits travaux d’amélioration quoi. Ah oui j’ai oublié le diésel et le propane, pour le diésel plusieurs aller retour avec un contrôle des pompes un peu surprenant. Deux postes d’essence à Georges Town, quand il yen a un qui fonctionne l’autre est en manque et vice et versa, donc ça fait la queue à la station de pompage, tout un mouvement de foule et de machine.
Le propane, nous croyons avoir trouver la place, bien sur qu’il y avait du propane, plus cher de 30 %. On m’a informé que sur le stationnement derrière le petit lac Victoria, à tous les mercredis le camion citerne se stationnait et que tout le monde faisait la queue en jasant, l’économie de 30 % valait la peine.

Moment fort
Le départ des amis et la sortie de la marina. Pour le départ des amis, émotions larmes et vides de leur absence, ces quelques mots résume assez bin leur départ.
La sorite de la marina, une marée mois hautes pour ce jour et les jours à venir, du montant encore pour une heure, je me suis echuer à quatre reprises et j’ai du forcer un peu sur le moeteur pour passer par-dessus la dernière bosse je dirais, une aventure plustôt désagréable, je sentiment d’`^etre pris dans un piège.

Inusité
Le poste d’essence, la ligne d’attente et le pompiste qui est le seul maitre dans cette cohue, ça valait le petit bout de temps passer en attente pour mon dernier 5 gallons.

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