samedi 28 mars 2009

22 au 30 mars 2009


22 au 30 mars 2009

Ponce Island, Porto Rico

Guilligan Island - Ponce
Distance parcourue dans la journée : 18 milles nautiques
Distance parcourue à ce jour : 3014 milles nautiques

Le vent annoncée et vécue
Annoncé du vent d’Est de 15 kts, que nous avons encore eu en partant. Ce vent a encore fini par tomber pour reprendre du Sud Est.

La vie
Déplacement
Une belle petite journée de voile, comme hier, il y a eu une petit bout à moteur, le temps que le vent reprenne. Pour le départ un bout au portant, à la voile et le dernier à la voile, au près. Une belle journée ensoleillée.

Marina
Ici pas d’ancre, la baie si prête mal et c’est profond pour un ancrage avec la proximité des bateaux. De toute façon Claude et Julie arrivent, la marina c’est bien. 4 jours de quai est plus cher qu’une semaine nous avons donc pris une semaine, c’est bien et correspond à l’arrivé des amis.

Ponce.
La ville est assez éloignée du port et de la marina, une grosse marche à prévoir pour les commissions. Cette marche n’a pas été requise, un des amis a loué une voiture ce qui nous a permis d’aller visiter San Juan à la pointe Sud Est de l’ile et de compléter les commissions le lendemain.
Un partage des frais, cette location a arrangé la gang, très bien.

San Juan
La location de voiture nous a permis d’aller à la pointe Sud Est de l’ile, dans la ville de San Juan, autoroute et embouteillage pour se retrouver dans le vieux San Juan. Ce petit tour de ville était pour nous permettre de trouver un magasin spécialisé du genre West Marine et nous l’avons trouvé.
Nous avons pris la fin de l’après midi et la soirée pour une petite bière terasse et un souper dans un petit restaurant.

Inusité
Nous sommes revenus dans le monde des Mac Donald, Burger King et Subway, il y en a un a chaque coin de rue.
San Juan, le vieux ressemble a un vieux Québec ou Montréal, avec de gros paquebots

21 au 22 mars 2009


21 au 22 mars 2009

Guilligan Island, Porto Rico

Buqueron – Guilligan Island
Distance parcourue dans la journée : 32 milles nautiques
Distance parcourue à ce jour : 2996 milles nautiques

Le vent annoncée et vécue
Annoncé du vent Nord Est de 15 kts, que nous avons encore eu en partant. Ce vent a fini par tomber pour reprendre du Sud.

La vie
Déplacement
Une belle petite journée de voile, il y a eu un petit bout à moteur, le temps que le vent reprenne. Je résume, un bout au portant et le dernier à la voile. Une belle journée ensoleillée.

À l’ancre
Dans une baie profonde, nous sommes bien protéger et nous avons très bien dormi.

Guilligand Island.
Est-ce là que la série télévisée a été tournée ? Un parc, ouvert de jour ou de petite embarcation font la navette pour emmener les baigneurs et vacanciers pour le barbecue du jour.

La pêche
J’ai encore perdu mon gréent, tout a été arraché, un requin ou un gros, je n’ai plus rien, merde les amis pêchent et prennent du poisson et nous !!!

Innusité
Il y a du monde sur cette petite ile. Peu de sable beaucoup de mangrove, à chaque éclaircie de mangrove des baigneurs et des barbecues, impressionnant tout ce monde. C’est en arrivant sur place ou sur eux que l’on voit ces gens, les mangroves cachent tout.

18 au 21 mars 2009


18 au 21 mars 2009

Buqueron, Porto Rico

Mayaguez - Buqueron
Distance parcourue dans la journée : 20 milles nautiques
Distance parcourue à ce jour : 2964 milles nautiques

Le vent annoncée et vécue
Annoncé du vent Nord Est de 15 kts, que nous avons eu en partant. Ce vent a fini par tomber pour reprendre du Sud.

La vie
Déplacement
Une drôle de journée, la fatigue probablement. De la voile en partant le vent a faibli, j’ai envoyé le spi et 5 minutes plus tard et le vent tombait pour reprendre du Sud, une chance que j’ai eu l’idée de baisser ce dernier.
Un petit bout à moteur pour reprendre à la voile, au près un peu plus tard.

À l’ancre
Dans une baie ouverte à la mer, si il y a un vent à tendance Ouest, nous allons mal dormir. À la quantité de bateaux dans cette baie, et d’après le coup il y en a certain qui sont là depuis longtemps, ces vents à tendance Ouest doivent être plutôt rare.
Constat nous avons bien dormis les jours que nous avons été là.

Buqueron.
Un petit village touristique, ayant pas grand-chose à offrir autres que des bars, restaurants, kiosque à fast food et rhum, (fast food local) et encore des bars.
J’ai fait le tour du village en un après midi, c’est beau et propre. Ça fait du bien après la République Dominicaine.
Un semblant d’épicerie et les 2 magasins pour les bateaux offrent surtout du matériel de pêche, je focus sur ces magasins car j’ai encore quelques petites bricoles à bateaux à acheter.

lundi 23 mars 2009

OK ESN:0-7355498

Bisous à Tous

http://aventureakat.blogspot.com
ESN:0-7355498
Latitude:17.9646
Longitude:-66.6166
L'Endroit Le plus proche:non connu
Distance:non connu
Temps:03/23/2009 17:20:14 (America/Toronto)
http://maps.google.com/maps?f=q&hl=en&geocode=&q=17.9646,-66.6166&ie=UTF8&z=12&om=1

dimanche 22 mars 2009

OK ESN:0-7355498

Bisous à Tous

http://aventureakat.blogspot.com
ESN:0-7355498
Latitude:17.9481
Longitude:-66.8719
L'Endroit Le plus proche:non connu
Distance:non connu
Temps:03/22/2009 15:03:04 (America/Toronto)
http://maps.google.com/maps?f=q&hl=en&geocode=&q=17.9481,-66.8719&ie=UTF8&z=12&om=1

samedi 21 mars 2009

Bonjours à tous

Bonjours à tous
Il ne faut pas s'inquieter, dans ces coins du monde, quand vous n'êtes pas dans un circuit d'hotel avec des plages entourés de barbellés, nous sommes dans le vrai pays.
Or donc, l'internet n'est pas toujours évident de même que le téléphone. Le bateau et son entretien demande du temps donc, l'internet passe en second.le meilleur de savoir si nous flottons est le Spot je vais l'activé plus souvent même si nous ne bougons pas, au moins pour dire ue tout va bien
Merci de vous inquiéter
Bisous à tous xxxxxxxxxx

17 au 18 mars 2009


17 au 18 mars 2009

Mayaguez, Porto Rico

Samana - Mayaguez
Distance parcourue dans la journée : 141 milles nautiques
Distance parcourue à ce jour : 2944 milles nautiques

Le vent annoncée et vécue
Annoncé du vent d’Est de 15 kts, diminuant à 10 à la fin de la nuit pour reprendre à 15 kts dans la journée, une bonne fenêtre pour le passage, et c’est le vent que nous avons eu.

La vie
Déplacement
Arrivé le 18 mars, vers 5 hre PM, nous avons fait 29 heures de navigation, La fenêtre météo annoncée, était là. Une chance, par ce que avc le peu de vent il y avai quand même de la vague, des creux de 6 pieds, en effet ça doit brasser terriblement quand les conditions se dégradent. Nous avons même rencontré des courants contraires, eh oui une parti de la nuit nous avancions seulement à 4 kts.
Nous avons quitté le port à moteur, et nous avons fait route voile et moteur, 1 ris dans la grand voile et le génois dérollé à 40 %, les voiles pour stabiliser le bateau dans la houle.
Epuisé, mais moins que le dernier déplacement. Danielle est venu faire des veilles avec moi sur le pont, ce qui nous a permis de dormir à tour de rôle. De petits sommes en petits Somes, de 1 heures ou presque. Ces petits bouts de sommeil ont fait toute une différence.

Mona Passage
J’avais jamais entendu parler de cet Host… de passage avant la République Dominicaine, aussi dangereux que le Golf Stream, sauf qu’il demande 48 heures de navigations. Ce passage se trouve dans un secteur ou les alizées sont établies, du vent d’Est en continu,
Donc pour son passage c’est du vent dans le nez, le moteur est requis et le brassage est assuré. À éviter tout vent de composante Nord, avec la vague et les courants que nous avons croisé, ce passage doit être infernal en effet. Or donc comme les habitués disent tu attends la fenêtre pas de vent et tu passe au moteur au plus christ et le plus rapidement possible.

À l’ancre
Dans le port de mer, celui est protéger des vents à composante Est, et il est ouvert à la mer, si le vent vire tout ce qui flotte a intérêt à se sauver. S’il ont fait un port de mer c’est que celui-ci doit être ok et comme je l’ai dis les alizées sont de l’Est.
Nous avons passé la nuit entre la buée 6 et la 8, distante l’une de l’autre de 300 pieds. Nous avons roulé au début de la nuit et le tout est devenu très calme jusqu’au matin.
Nous avons choisi ce port en raison des douanes au quai, procédure qui devrait facilement se faire et prévu pour demain matin

Douanes.
Au début de la journée et le tout s’est fait rapidement, les agents ont été très agréables, rien à dire de mal, bien reçu avec le sourire et très profesionnels.
Les procédures effectuées, notre petite flotte se met en route pour Buqueron


Inusité
Au petit matin, le bateau Snowaway, canadien anglais est venu très prés de nous, nous nous dirigions sur le même point, un peu spécial. Ce dernier s’est dérouté pour nous rejoindre par l’arrière, et reprendre sa navigation après cette brève visite. À la douane , j’ai compris qu’il a essayé de communiquer avec nous, et il avait peur d’être abordé. Ce que je comprends c’est que monsieur ne voulait pas se tasser ou dérouter, mais il n’a pas eu le choix, je ne parle pas anglais et ce dernier a essayer de communiquer sans connaitre le nom du bateau, je n’ai pas chercher à comprendre son raisonnement.

12 au 17 mars 2009


12 au 17 mars 2009

Samana, République Dominicaine

Lupéron – Samana
Distance parcourue dans la journée : 147 milles nautiques
Distance parcourue à ce jour : 2803 milles nautiques

Le vent annoncée et vécue
Annoncé du vent de Nord Est de 20 à 15 kts. Ce que nous avons vécu, le vent est tombé au début de la nuit jusqu’au milieu de la nuit. Après il a repris de l’Est à 20 kts, pas idéal du tout.

La vie
Déplacement
Arrivé le 12 mars, vers 2 hre PM, nous avons fait 24 heures de navigation, La fenêtre météo annoncée, n’était pas là. Nous avons quitté le port à moteur, et nous avons fait route voile et moteur, 2 ris dans la grand voile et le génois déroulé à 30 %, les voiles pour stabiliser le bateau dans la houle.
Après que le commandante nous ait donné le go, nous sommes partis 4 voiiers, j’ai ralenti un peu pour attendre Chenou qui est un peu plus lent jusqu’au milieu de la nuit après nous avons fait route a peu près à 5.5 à 6 kts.
La fenêtre météo n’était pas au rendez-vous, nous nous sommes fait brassé, le passage des caps nous permettant de rentrer à Samana s’est fait dans de la vague de 12 à 15 pieds de creux, un peu impressionnant quand tu double un cap de 300 à 400 pieds de hauts et tu le perd dans le creux de la vague. Pas fameux comme déplacement, je suis arrivé épuisé, assommé serait un mot plus juste, Danielle aussi est fatiguée, elle tiens le coup.

Commandante
Un peu surprenant, nous avons été reçu par le commandante, un petit 100 Pesos pour ce dernier et un autre pour son acolyte, ces derniers étaient accompagnés par Richardo (équivalent de Papou) qu’il a fallu graisser d’un 20 $. Ce dernier nous a accompagné jusqu’au bureau du port ou il a fallu payer un 15 $, par contre ces derniers avaient du change. De plus, quand nous sommes partis un 20 $ pour les papiers de départ nous a été demandé. Il est là le surprenant, nous nous sommes moins fait arnaquer qu’à Lupéron, des gens et une attitude plus sains.

À l’ancre
Dans un petit coin du port, moins de bateau qu’à Lupréron, Moins protéger par contre ça bouge toujours un peu, le vent tombe dans la nuit, mais nous continuos à rouler.
Le port est beaucoup moins pollué qu’à Lupéron, Nous avions entendus beaucoup de négatif, et nous nous étions fait une idée en conséquence. Mais non c’est mieux qu’à Lupéron, moins protéger oui, mais pas de tempête à l`horizon, ni coup de vent.

Des amis Québécois.
À se consulter pour la météo, en plus nous allons dans la même direction, nous avons finis par faire la déplacement ensemble, avec nous ça fait 4 bateaux..

République Dominicaine
Samana, Moins sale que Lupéron, pas d’égout à ciel ouvert dans les fossés des rues, un petite ville plus accueillante. La rivière dans cette ville par contre, nous devrions dire un ruisseau qui d’ailleurs sert d’égout, incroyable.
Il y a ici une pollution supplémentaire le bruit, 3 bars les uns à coté des autres et leurs limites de terrain se fait par des colonnes de sons. Chaque bar a sa musique et en avançant de 2 pas, tu passe à l’autre musique, un mur du son qui se ferme à 2 heures du matin, le plus surprenant c’est qu’il y a du monde.
Près de la rivière il y a aussi un bar, avec terrasse sur la rivière et la rue, la nuit nous ne voyons pas le fond du fossé ou cette jolie petite rivière coule (égout), charmant. Quand je dis un bar c’est un cabanon délabré avec quelque chaises vendant de la bière et sa musique biens sur.

Les restaurants et bars du coin, Nous avons été mangés à une pizzéria et chez un restaurant Chinois, dans la cas de la pizzéria, c’était très bon, un peu cher. Chez le chinois les commentaires sont partager, en général c’était moyen.

Un pays pas cher la République Dominicaine,
À force de penser que c’est pas cher, ça fini par nous couter cher. Toujours dans les restaurants et bars. Une cervésa à gauche un bière a droite, que faire, nous sommes confiné au port, que faire d’autre que dépensé.
Il est temps de quitter ce pays, en générale nous en gardons un souvenir moyen, pas négatif, mais la pollution, la pauvreté, le graissage de patte, un navigation sur une cote austère avec peu de protection en cas de pépin, confiné à chaque port par les autorités, ça nous laisse un gout amère dans la bouche.

Météo
La température en générale était chaude, la nuit deviens fraiche ce qui est parfait pour dormir. Nous avons eu de la pluie à tous les jours, de bonheur le matin, et il a eu 4 jours ou il a plu régulièrement dans la journée, des journées de pluie, rien de comparable avec celles du Québec, mais des journées de pluies.

Déplacement à venir
Le fameux Mona Passage, une fenêtre météo se présente pour le 17 mars et elle devrait durée 3 jours, à suivre.

Navigation
Pour La République Dominicaine, nous arrivons sur la face exposé à l’Atlantique, une côte austère, offrant peu de protection ou les abris sont inexistants ou presque, pas de cartes ou aides à la navigation, sauf pour Lupéron, Océan View et Purto Plata, d’ailleurs se présenter dans ces ports avec de la vague moindrement haute doit être très stressant.
Les seuls renseignements sont dans un guide, Disons que c’est plutôt ordinaire de se présenter dans une baie entouré de récifs en utilisant la page d’un guide.
Du large, la vue de la côte est magnifique, les montagnes, les caps, la verdure luxuriante, peu accueillante pour de petits voiliers. Peu de place pour les erreurs.

26 février au 11 mars 2009


26 février au 11 mars 2009

Lupéron, République Dominicaine

Cockburn Harbour - Lupéron
Distance parcourue dans la journée : 112 milles nautiques
Distance parcourue à ce jour : 2656 milles nautiques

Le vent annoncée et vécue
Tel qu’annoncé au début du Nord Est de 15 Kts, Un peu moins fort au départ et des pointes à 20 kts dans la nuit.

La vie
Déplacement
Arrivé le 26, vers 7 hre AM, La fenêtre météo annoncée était là, Nous avons quitté le port à moteur, pour mettre les voiles un milles plus loin. Le départ s’est fait à midi, j’ai calculé une traversée d’environ 24 heures, si le vent faibli nous allons entrée en fin de journée et s’il prend de la force plus vers 8 heures du matin.
Dans la nuit le vent est monté à 20 kts, le bateau fonçait à 7.5 kts vers la destination, trop vite. Un peu avant d’arrivé, à 15 nms des côtes, le vent a viré, de face et a faibli, je croyais que ce vent allait être de courte durée en raison de l’orage que nous avions au dessus de la tête, mais non, après un heure au près, j’ai mis le moteur car nous ne tenions pas le cap, et par la même occasion ça nous a permis d’arriver à la lueur du jour.

Douane et autres
Bienvenu dans le monde du graissage de pattes, un peu spécial à vivre, la première approche ressemble plus à « nous voulons tes pesos, tous tes pesos » et il en est de même pour toutes les autres approches, sauf que l’on si fait.
À l’arrivée nous sommes accueillis par Papou, rien a voir avec les douanes ou autres, lui c’est le service à tous les bateaux localisés dans le port, lui seul, sont domaine farouchement gardé je pense, besoins d’eau, de fuel , nettoyage de la coque, un déplacement en ville, un taxi ou n’importe quoi , tu demandes Papou et ce dernier t’organise le tout, moyennant un petit supplément. Ce que l’on comprend dans les jours qui suivent, que c’est bien son domaine, mais il y a comme une protection assurée. Pas de vol, même avec la pauvreté à proximité, comme nous a dis quelqu’un, probablement que le voleur se ferait pendre dans les heures qui suivent son méfait.
Donc je disais que nous sommes accueillis par Papou, après l’explication de tous les services qu’il peut te rendre, il nous vent le drapeau de la République et nous dis de ne pas bouger du bateau. 1 heure lus tard, Papou est de retour avec le commandante du port et un fonctionnaire. Ces derniers prennent des notes sur le bateau, notre route, d’où nous venons, etc, au moment que le tout est presque complété, Papou nous fait bien comprendre, qu’un petit graissage serait bien, non obligatoire, mais très biennnnNN. De toute façon ces messieurs ne semblent pas vouloir quitter sans le graissage, il se perdent dans leurs notes, c’est partis un 10 $ américain pour chaque et les premières formalités se complètent avec le sourire et poignées de mains. Nous avons le ok pour descendre à terre pour compléter les autres procédures.
L’immigration, estampillage du passeport et le remplissage de quelques papiers, 63$ américain. Je présente un 70 $, devinez, pas de change, et ça continu, en lui disant de garder le change de grands sourire apparaissent et en même temps la fin de cette procédure. Un 10 $ pour l’accès au port avec un reçu bien sur (c’est drôle il y a du liquide paper sur les montants et ces montants ont été réécris au stylo, pour la somme exigée). Un 10 $ pour l’agriculture, les fonctionnaires nous informent qu’ils doivent passer au bateau pour inspection des frigidaires (fruits et légumes), dans une heure environ. Une heure plus tard, 2 fonctionnaires,1 pour le pays l’autre pour le départementale (province), 2 autres 10 $ avec reçu bien sur, autres grands sourire et ces dernières formalités sont complétées.

À l’ancre
Près du quai gouvernementale, rien à dire. Un emplacement qui nos avait été un peu déconseillé en raison de la pollution, mais je crois que si l’on regarde l’ensemble, nous avons un bon emplacement, et que de toute façon la baie au complet est polluée.
Pas de banc (Bahamas et Turcs), dans une baie protégée de tous les vents, enfin dormir sans se demander s’il y a changement de vent et de valider la météo 2 fois par jour pour valider les changement s de météo.
Il y a beaucoup de bateaux dans ce petit port, ils sont là pour un séjour dans le coin ou en attente de la prochaine fenêtre météo. Un peu spécial le coup d’œil, pour certains habitué, ils y a beaucoup moins de bateaux que d’habitude, ça doit faire spécial de voir se port bien rempli, avec deux fois plus de bateaux.
A tous les matins, au lever du jour, nous avons droit au passage des embarcations de pêches (chaloupe en piteuse état), à rame ou avec un petit hors bord.

Des amis Québécois, français
À notre arrivée, 3 bateaux Québécois dans ce port, ces derniers, après que les formalités complétées, sont venus nous rendre visite avec un petit bon jour, et ils nous expliquer un comment ça se passait dans le village, les restaurants et bars, l’influence de Papou sur le port et les bateaux à l’ancre.
Ces amis sont, Lady M1- Ronald et Danielle, Chenou- Brigitte et Robert, Tenace- Claude, Pierre et Monique, nous avons perdus Lady M1, 2 jours plus tard, ils ont pris la fenêtre météo leurs permettant de faire le Mona Passage, donc nous faisons du social avec Chenou et Tenace.

République Dominicaine
Lupéron, un peu spécial et l’on pourrait même dire un choc à la première visite, la pauvreté, la couleur des fossés nous indique bien que ce sont des égouts à ciel ouvert, et malheureusement, le terrain de jeu de certains enfants, certaines maisons qui sont souvent plus petites que une grande majorité des cabanons au Québec, et dans un états que personnes n’en voudrait comme cabanon, oui, un choc.
Après un jour ou deux nous finissons par si habituer, eh oui, ces gens sont dans leurs petites maisons par choix, ils n’ont pas d’hiver, et ils n’ont pas la maladie du voisins gonflables.

Les restaurants et bars du coin, Chez Steeves, le restaurant le plus propre du village, la seul place ou nous avons mangé à Lupéron, pas cher, un copieux repas pour moi et ma douce avec 2 grosses bières, 15 $ US. Les bars que nous avons fréquentés, le bar de la marina et chez Shaggy’s, la bière est bonne, (Bohémien) un peu trop d’ailleurs, il va falloir décoller d’ici par ce que je vais me retrouver avec un bedaine de bière.

Puerto Plata, Eh oui nous avons fait une petite excursion dans le pays. Une initiative de nos amis, qui a été la bienvenue et nous a fait sortir de Lupéron. Épicerie et autres petites commissions, un bain de foule, de pollution, taxi en mobylette (il y en a partout, spécial à voir, ils se faufilent dans tous les sens avec leur passager) avec leur échappement, la pauvreté, des poules avec leurs poussins même sur les trottoirs en ville.

Communication
À Lupéron, pas de haute vitesse. Il y a au restaurant chez Steeves ou au bar de la marina, qu’il y a du wifi, mais c’est longgggggggGGGGGG, juste ok pour faire la lecture des courriels entre les pertes de réseau.
Par contre le téléphone est bien, un petit bureau local avec plusieurs téléphones nous a permis de faire un coucou et donner des nouvelles aux amis et à la famille, à bon prix.

Énergie de Akat
Dans ce petit port, bien protéger du vent et de la vague, nous avons droit a des journées pluvieuses, aujourd’hui le 06, ça fait 3 jours que nous avons des nuages avec de la pluie une fois de temps à autres.
Donc pas de vent pour l’éolienne et pas de soleil pour les plaques, je suis obligé de démarrer le moteur le matin et le soir pour recharger les batteries. Je me suis toujours demander si l’éolienne fonctionnait bien, il y avait toujours un petit doute. Avant cette période nuageuse, les plaques solaires n’ont pas données leurs plein rendement et pas de vent, et je me suis redu compte qu’à un moment il faillait redémarrer le moteur pour donner n peu de charge.
Quand nous avons ancré à Mayaguana, du soleil et du vent durant tout le séjour, jamais je n’ai a démarrer le moteur pour donner un peu de charge, je me suis même permis de fabriquer de l’eau sans démarrer le moteur, or donc tout ça pour dire que l’éolienne fonctionne bien, et notre installation plaques et éolienne est très bien.

Déplacement à venir
Sur la face Nord de cette ile, coté Atlantique, il n’y a pas grande protection, et il y a le Mona Pasage. Entre Porto Rico et notre ancrage, il y a Samana, une petite baie qui semble être une bonne protection selon les cartes. Après informations, cette baie est aussi polluée que Lupéron, pas protéger des vents d’Est, nous a été déconseillée en raison de la pauvreté et des vols.
Si l’on suit les conseils de la majorité, go d’un coup à Porto Rico, 40 à 48 heures en lignes, il y a bien quelques petites baies et mouillages en route, mais ces arrêts nous ont été grandement déconseillés en raison de la contrebande et du trafic de drogues, Comme on dis ici, il y a des choses qu’ils seraient mieux de ne pas voir et éviter certaines rencontres, à moins d’une extrême urgence.
Donc le Mona Passage, un peu comme le Golf Stream, à faire avec peu ou pas de vent. Tout vent à composante Nord est déconseillé, et un vent de Nord Est a plus de 20 Kts, équivaut à vouloir se suicider selon un guide nautique.
Pour 48 heures, je dois bien calculer mon coup et choisir la meilleur fenêtre météo. Or donc nous allons éviter les vents à composantes Nord, en espérant que nous ne serons pas à Lupéron pour les prochains 3 mois.
À suivre, Samana ou Porto Rico, Lady M1 se trouve à Samana selon ce que nous avons su, et selon l’information reçu le port ressemble à Lupéron, autant polué mais bonne protection contre la mer et le vent, il ne semble pas y avoir tant de vol. En plus de l’autre côté de cette baie, il y a un parc avec de belles choses à voir.

Inusité
Générale, La République Dominicaine en générale et bien sur Lupéron, un pays ayant une végétation luxuriante, ou la beauté et la saleté se côtoient, ou la richesse et la pauvreté se côtoient (quand on parle de richesse, il n’y a rien de comparable a de grosse maisons ou château, par contre les gens qui en ont plus que les autres, ça parait), des chiens errants un peu partout qui te suivent même dans les restaurants. Il y a aussi la beauté de ces gens, les Dominicains sont un beau peuple, les gens sont beaux en général, blanc, brun ou noir.

Négatif
Les ports, Il n’y a pas grand place ou aller, pour se déplacer d’un port à l’autre ou même faire une sortie, ça nous prend des papiers et la permission du commandante du port, sans oublier les joyeux dollars qui vont avec.
Pollution, Nous ne sommes pas à la plage d’un hôtel de luxe, la baie ici est extrêmement polluée, aucun plaisir à se baigner dans des égouts, une promenade en zodiac avec l’eau qui splache nous rend nerveux jusqu’au moment d’un rinçage à bord du bateau. Le va vite fait des ravages chez certains amis, nous nous faisons attention de l’eau sans glace , bière ou liqueurs, sans glace bien sur, et tout va bien.
Départ de Lupéron, Nous avions une fenêtre météo de 3 jours pour se rendre à Samana, une période de navigation de 24 hres exige une belle fenetre et celle-ci se présente.. Eh ben, le commandante n’a pas voulu nous laisser partir, nous étions 8 bateaux à vouloir quitter ce port, croyez le ou non, la sortie nous a été refusée (le monsieur était occupé à l’extérieur du village). Un départ sans papier et le ok de ce monsieur nous met hors la loi et il n’est plus questions d’arrêter en République Dominicaine. or donc nous restons coller à Lupéron et une journée de moins pour notre fenêtre météo.
La navigation de plaisance en République Dominicaine ça n’exista pas, tu reste dans le port jusqu’à ton prochain déplacement. Nous commençons à avoir hâte de bouger, aller voir ailleurs, quoi ????????? quitter ce monde ou de joyeux dollars sont exiger par les autorités pour n’importe quoi

Perte
Durant notre déplacement en contournant les caps, nous avons perdus la bouteille de propane en aluminium, dans de la vague de 12 à 15 pieds, nous n’avons même pas essayé de la récupérer. Cette bouteille était pleine en plus.Depuis Annapolis, j’avais achetez 2 autres bouteilles de propane, nous avions donc 4 bouteilles 2 dans les coffres et 2 sur les coffres fixées avec des collets. Un collet a lâché et la bouteille a plongé à la mer J’ai aussitôt vérifié la bouteille en fibre et le collet avait lâché aussi, mais la bouteille n’avait pas encore tombé, je l’ai sécurisé pour quelle tienne le coup jusqu’au port

19 au 25 février 2009


19 au 25 février 2009

Cockburn Harbour, South Caicos, Turk and Caicos

Sapodilla Bay – Cockburn Harbour
Distance parcourue dans la journée : 61 milles nautiques
Distance parcourue à ce jour : 2544 milles nautiques

Le vent annoncée et vécue
Pour partir de Sapodilla nous attendions une fenêtre météo nous donnant du vent favorable, mais cette météo a changée. Après ce changement nous avons eu ce qui était annoncé du vent Sud, Sud Ouest de 15 à 20 kts.

La vie
Déplacement
Arrivé le 19, vers 17 hre, Nous sommes parti de Sapodilla par ce que, pour les vents annoncés notre position aurait été intenable. Nous n’étions pas protéger, la protection pour ces vents aurait probablement été la marina ou South Caicos. Nous avons décidé de nous déplacer vers South Caicos, les Six Hills Cays. Une fois rendu le vent entrait avec un swell, or donc le deuxième choix s’est imposé, le Sud de Long Cay 5 nms plus loin, eh ben, pas plus protéger, nous avons continué notre route jusqu’à Cockburn. Là nous sommes protégés de la mer, mais le swell entre, toute beauté une swell de 3 pieds minimum, la belle nuit à venir. Nous avons passé une belle nuit. Nous n’avons pas bougé de notre emplacement, mais nous nous sommes retournés dans le lit sans le demander, que voulez vous, les bancs et le peu de protection qu’ils offrent.

Le dernier bout, le passage entre Long Cay et Cockburn a été un peu stressant, la vague de 6 pieds et un peu plus, allait frapper sur le mur de l’ile (pas de plage, un mur de pierre, ayant plus de 30 pieds de profondeurs d’eau à ces pieds) et cette contre vague était retournée au large nous faisant bouchonner à souhait pour une distance de 3 nms.

Douane
Pour se rendre en République Dominicaine, il nous faut le Chec Out, après une petite marche dans le village pour trouve le bureau et le tout s’est très bien dérouler.

À l’ancre
Ça tiens bien, de moins en moins de stress avec l’ancrage. Dans ce coin du monde on apprend à s’ancrer et à faire confiance à notre équipement, différent du Québec. Comme j’ai dit nous avons rouler TOUTES LES NUITS, mais pour ce qui est de la tenue o problème, même avec un petit coup de vent d’une 30 kts.

Cockburn Harbour
Nous sommes allés faire un petit tour dans le village, la caméra au cou. De plus en plus pauvre, les maisons commencent à moins ressemblées à ce que l’on connait, l’eau potable est moins abondante, chaque maison a son système pour récolter l’eau de pluie. Il y a même un cartier ou nous avons décider de faire demi tour, avec la caméra au cou, nous nous sentions vraiment des intrus pas à notre place, remarquez que la majorité des gens nous souriaient, mais nous sentions inconfortables.
Ils y a des autos monté comme partout ailleurs, petit bolide, pneus large a bas profil avec un start à chaque coin rue, contraste un peu spécial avec ce cartier, les priorités ne sont pas les mêmes faut croire.
Ce coin du monde est une ancienne exploitation de sel, des marais séparés en damier, qui ne servent plus à voir.

Communication
Ici, un bâtiment annonce le wifi, une fois à l’intérieur avec une ou deux questions, le wifi, c’est seulement l’annonce, pas de service.
Il y a surement un endroit, mais ça ne me tente pas de partir à la recherche de ce réseau.

Déplacement à venir
Une fenêtre météo s’annonce favorable mercredi et jeudi pour faire route vers la République Dominicaine, des vents du Nord Est à Est de 15 kts, à suivre.

Inusité
Dimanche le 20, 1 voilier viens d’arriver il est 11 hres, sa grande voile déchirée, spectacle désolant.

Grand stress
Nous faisons notre pain, eh oui, nous l’avons déjà dit. 2 recettes, la première avec de la levure sèche, et la deuxième, notre préféré avec du levain, recette de Johanne. Avec cette dernière recette, nous sommes autonomes en levain, celui-ci est nourri à chaque fois que nous faisons du pain, formidable nous n’avons pas à courir les magasins pour de la levure.
Le grand stress viens du fait, que j’ai démarré du pain, mais le levain ne réagissait plus, j’en avais les larmes aux yeux, le lendemain avant midi, j’ai essayé avec une autre farine et levain s’est remis à être actif, ouf.

jeudi 19 mars 2009

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jeudi 12 mars 2009

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