mardi 1 décembre 2009

01 au 31 octobre 2009


01 au 31 octobre 2009

Grenades

La température vécue
Toujours soleil et très chaud, quelle misère. Il y a parfois quelques averses ou orages, je suis rendu à accueillir c’est précipitation avec le sourire, ces précipitations apportent un peu de fraicheur.


Les endroits

Carénage
Que dire, je suis passé un petit bout dans le carénage tout au fond de la cour, je crois que ça valait la peine de souligner à nouveau.

Il me faut réarmer le bateau, l’antifouling a été fait par Robert durant mon absence. Quelques petites bricoles, refaire une beauté au bateau, nettoyage et cirage, tout ça dans des températures parfois de 40 à 41 degrés Celsius. Arrive le soir avec ces moustiques, impossible d’être à l’extérieur, et il faut dormir dans le bateau surchauffé à fond. Le seul fait d’entré à l’intérieur, je deviens détrempé en quelques secondes. Je mets en fonction l’unité de climatisation en ma possession, mais les protections déclenche tant il fait chaud. Je réussis quand même à refroidir la chambre du milieu en fermant les portes et m’endors lorsque la fraicheur a pris le dessus, avec des nuits plutôt courte, le lendemain c’est pareil.

Pour vous dire, une fois il est tomber une pluie abondante durant quelques minutes, au début, lorsque l’eau touchait au sol, elle s’évaporait presque instantanément. Ça du prendre quelques minutes avant que cette pluie mouille le sol. Une brume de chaleur apparait, c’est le sauna à vapeur, et au retour du soleil, je passe au sauna sec.

St-Davids
Au mouillage, enfin que dire, un peu plus frais et les moustiques ont du mal à se rendre au bateau (n’ayez crainte ils y en a qui réussissent). Au mouillage, un peu plus longtemps cette fois ci, environ 3 semaines à se faire bercer au fond de cette petite baie. L’apéro à presque tous les soirs, 2 à 3 bières avec les vieux et les nouveaux amis. Je dis deux ou trois bières, mais il est arrivé d’en prendre un peu plus, ouf.

Une petite vie tranquille dans ce petit mouillage avec des moments très intenses parfois. À observer la vie des gens et la mienne, il y aurait de quoi écrire un téléroman. La vie, celle des propriétaires, travailleurs et contremaitre, les locaux et les immigrés blanc qui ont toutes sortes d’histoires de vie, des histoires qui les ont amenés dans ce petit coin perdu, sans oublier les vacanciers de passages et les navigateurs comme moi. Oui, 3 semaines à observer et seulement vivre.

Calivigny Baie
Nous avons réussi à sortir de notre petit mouillage et passer à une autre baie. Chenou et Akat ont réussis à mouiller en face de Calivigny Island. Une ile de milliardaire, un milliardaire. Il y a un gros hôtel, seulement une façade qu’il devait avoir pour s’installer. Tout est privé, aucun client. Nous ne pouvons que mettre les pieds sur la plage et observer tous les travailleurs qui maintiennent l’endroit aussi propre que possible et les surveillants qui nous surveillent.

C’est le mouillage français de Grenada. Français pour la langue, parce que c’est l’endroit ou tous les québecquois et les français s’installent pout passer la saison cyclonique. Il y a une petite marina avec des propriétaires suisses, français.



La photo
Prise du bateau, l’on voit le carénage et le bar ou il s’est pris de nombreux apéros. Les amis, les travailleurs et les locaux étaient souvent sur place pour ces apéros. Il ne faut pas oublier les moustiques étaient très assidus à ces rendez-vous, toujours présent.

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